Pauvre Barbie

Le rêve de Barbie n'était sûrement pas de finir comme ça.

La pauvre, elle qui était tellement belle avec  une coiffure à tomber par terre, sans oublier sa robe, et qu'elle 
robe, Charlize Theron en serait morte de jalousie. 

Mais ça c'était avant, avant que ma Libellule ne mette la main dessus et ne l'emprisonne à jamais dans son grand panier à Barbie, c’était la période où ma Libellule voulait être coiffeuse. 

Aujourd'hui elles sont une dizaine de sœurs Barbies toutes plus moches les unes que les autres. Bon certaines sont moins amochées que d’autres, mais en générale, elles sont toutes passées au moins une dizaine de fois au bain (elles sont propres c'est déjà ça), elles ont crapahuté dans la terre du jardin, elles ont fait de la balançoire, du trampoline, Cobalt (notre labrador) les a promené dans sa guelle afin de leur faire découvrir les petits coins cachés du jardin et j'en passe et des meilleurs... 

Ah oui, elles n'ont même plus de maison, puisque Monsieur l'a malencontreusement cassée un jour ou ma Libellule avait tellement bien rangé sa chambre que le moindre pas devait obligatoirement finir par détruire quelques choses. Pas de chance, la super maison rose se trouvait au mauvais endroit.

Aujourd'hui, Barbie et ses sœurs clones ne demandent qu’à se reposer et c'est tant mieux car comme toute petite fille gâtée, ma Libellule les a remplacées par les sœurs Monster high. Les Barbies les connaissent bien puisqu'elles ont la même maman Mattel.
Il est vrai qu'elles ne présentent pas pareil, certain diront qu'elles sont moches ou qu'elles font peur (comme nanou, la grand-mère de mes petits boulets) mais j'avoue qu’en les regardant de plus prés, je les trouve plutôt mignonnes, elles ont même du chien (clin d’œil pour notre  Cobalt). 

  Donc dans l'ordre d'arrivée dans la famille, nous avons Draculaura, Véroronique, Frankie stein et la petite dernière Rochelle, qui franchement est la plus belle.  Je souhaite donc à ces nouvelles poupées la bienvenue et leur souhaite longue vie  au sein de la famille ou plutôt dans la chambre  de destructeuse woman.